Cameroun : Les insultes, la haine et le mépris comme arme politique, voici la triste réalité de certaines hommes politiques.

Cameroun : Les insultes, la haine et le mépris comme arme politique, voici la triste réalité de certaines hommes politiques.

Depuis l’élection présidentielle du 12 octobre 2025, le paysage politique camerounais est marqué par une montée inquiétante des attaques personnelles à l’encontre de certaines figures clés du pouvoir. Samuel Mvondo Ayolo, Directeur de Cabinet, Ferdinand Ngoh Ngoh, Secrétaire Général de la Présidence, et Emmanuel Franck Biya, entre autres, sont devenus les cibles privilégiées d’invectives, de calomnies, et d’une haine virulente orchestrée par certains membres autoproclamés de l’opposition.

Il est primordial de dénoncer avec fermeté ces attaques futiles qui ne font qu’alimenter la division et la discorde au sein du peuple Camerounais. Quand le débat politique dérape au point de se réduire à des insultes et menaces incessantes, il n’y a plus de place pour la réflexion constructive ni pour le travail de fond qui devrait être le cœur de toute contestation démocratique.

Ces pratiques dévoilent surtout la véritable nature de ceux qui les profèrent notamment une opposition plus encline à semer la haine qu’à proposer des alternatives crédibles. En transformant leurs discours en bazar d’outrages, ils démontrent leur incapacité à offrir une vision politique claire et respectueuse des institutions. Comment espérer gagner la confiance du peuple camerounais quand leur méthode principale consiste à dénigrer sans fondement les collaborateurs du Chef de l’État ?

Les attaques dont font l’objet ces hauts responsables traduisent aussi une certaine peur de la stabilité et de l’ordre que le pouvoir en place s’efforce de maintenir. En ciblant des hommes d’expérience et de loyauté comme Samuel Mvondo Ayolo, Ferdinand Ngoh Ngoh ou Emmanuel Franck Biya, ces voix discordantes cherchent à déstabiliser artificiellement l’administration présidentielle pour gagner en audience, sacrifiant ainsi l’intérêt national au profit d’objectifs partisans.

Il convient que chaque Camerounais dénonce cette culture de la haine dont l’objectif ultime est la fragilisation de l’État et non le progrès de notre pays. La liberté d’expression ne saurait être un prétexte pour distiller les accusations gratuites et les messages de division. La démocratie camerounaise doit être bâtie sur le respect mutuel et la reconnaissance du travail accompli, non

Ces attaques incessantes ne font que trahir le manque d’arguments solides des détracteurs et révèlent une opposition dont la préoccupation première est moins le bien-être du Cameroun que la satisfaction de rancunes personnelles et politiques.

Amen K.

admin

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