Cette cabale, qui ne repose sur aucun fait vérifié, aucun élément probant, semble être devenue le sport favori d’une poignée de détracteurs. Leur motivation ? Probablement un mélange toxique de jalousie face au succès, d’incapacité à rivaliser sur le terrain de l’excellence, et peut-être même la volonté délibérée de nuire à un acteur économique majeur dont les investissements rayonnent bien au-delà du Burkina Faso. Quand la concurrence loyale échoue, certains semblent croire que la calomnie devient une stratégie acceptable. Ils se trompent.
Le parcours d’EBOMAF, ses réalisations en matière d’infrastructures routières, ferroviaires et aéroportuaires à travers le continent, parlent d’eux-mêmes. Il s’agit d’un groupe qui participe activement au développement économique de l’Afrique, créant des milliers d’emplois et contribuant à désenclaver des régions entières. Au Burkina Faso même, son apport à l’économie nationale est significatif. C’est précisément cette réussite, cette stature internationale acquise à la force du poignet, qui semble insupportable à certains.
Il est grand temps de dénoncer avec la plus grande rigueur cette entreprise de salissure systématique. Ces attaques, loin de servir l’intérêt général, nuisent à la crédibilité du pays comme destination d’investissement et portent préjudice à l’économie nationale. Quel investisseur sérieux pourrait envisager sereinement de s’implanter dans un environnement où la réussite est systématiquement punie par des campagnes de dénigrement ?
La présente tribune se veut donc un coup de projecteur sur ces méthodes toxiques. Elle appelle les autorités, la justice, et l’ensemble de la société civile à une prise de conscience collective. La liberté d’expression, valeur fondamentale, ne saurait être un alibi pour le déchaînement de haine et la propagation de fausses informations. Il est du devoir de tous de défendre l’honneur des acteurs économiques qui, par leur travail, bâtissent concrètement l’avenir de la nation.
Le Burkina Faso a besoin de ses entrepreneurs, de ses bâtisseurs. Il n’a que faire des envier systématiques et des semeurs de discorde. La vérité et le travail finiront toujours par triompher de la malveillance et du mensonge. Soutenir EBOMAF aujourd’hui, c’est défendre le droit à la réussite et envoyer un message aux détracteurs que le Burkina Faso est une terre qui honore le travail et l’innovation, et non la jalousie et la diffamation.