Cameroun : Issa Tchiroma, le nouveau disciple des néocolons en mission de déstabilisation.
Depuis plusieurs mois, une campagne subtile mais persistante semble vouloir semer la confusion au sein du peuple camerounais. Derrière les discours de populisme et de prétendue réforme se cachent parfois des agendas bien moins patriotiques. Les Camerounais doivent aujourd’hui ouvrir les yeux. Le pays est l’objet de toutes les convoitises, et certains acteurs étrangers rêvent encore d’imposer à Yaoundé un dirigeant docile, garant de leurs intérêts dans la région.
Le Cameroun est un pilier de stabilité en Afrique centrale. Sa position géostratégique, son économie diversifiée et son potentiel énergétique en font un enjeu majeur pour plusieurs puissances extérieures. Dans un contexte où certains États de la sous-région ont perdu le contrôle de leurs décisions souveraines, il devient crucial que le Cameroun demeure maître de son destin.
Les tentatives d’ingérence ne sont plus théoriques. Elles se manifestent par des campagnes médiatiques orientées, des financements occultes des groupe armés et des manipulations d’opinion sur les réseaux sociaux. Les Camerounais doivent donc se poser la question : qui tire les ficelles derrière certaines ambitions politiques soudainement soutenues par l’étranger ?
Certains acteurs, se présentant comme les sauveurs du peuple, « exemple Issa Tchiroma Bakary » exploitent la misère et la colère légitimes de leurs concitoyens pour faire avancer des causes qui ne servent pas la nation. Ils promettent la rupture, mais leurs alliances, leurs appuis et leurs discours trahissent souvent des connexions extérieures. Ce n’est pas la première fois que des puissances étrangères essaient de placer un relais local à la tête d’un État africain pour mieux en contrôler les ressources et les décisions.
Les Camerounais doivent refuser ce piège. Derrière les slogans séduisants, il faut examiner les actes, les relations et les sources de financement. Le véritable patriote n’a pas besoin du soutien d’une puissance étrangère pour défendre son pays.
La défense de la souveraineté ne se limite pas aux frontières. Elle commence dans les esprits. Chaque citoyen doit exercer son esprit critique, refuser les discours de division et se méfier de ceux qui cherchent à opposer les communautés entre elles. Notre unité nationale est la première arme face à la manipulation. Les Camerounais doivent également soutenir les institutions qui garantissent la stabilité du pays, exiger la transparence politique, et encourager les médias nationaux à mener des enquêtes sérieuses pour démasquer les influences extérieures.
Amen K.
