Afrique :  Mahamadou Bonkoungou, une nouvelle cible de Saïd Penda, un journaliste véreux de réputation douteuse.

Afrique :  Mahamadou Bonkoungou, une nouvelle cible de Saïd Penda, un journaliste véreux de réputation douteuse.

La scène médiatique africaine a ses pantins, et Saïd Penda semble bien déterminé à en être la marionnette la plus prévisible. Le voilà qui ressort de l’ombre, brandissant une nouvelle « révélation » aussi grotesque que mal ficelée, visant cette fois Ebomaf et son PDG, Mahamadou Bonkoungou. Selon ce pourfendeur autoproclamé de la vertu, l’entreprise n’aurait jamais remporté un marché sans graisser quelques pattes bien placées. Quelle audace dans l’approximation, quelle légèreté dans l’accusation ! L’opinion assiste, une fois encore, à une tentative grossière de calomnie, drapée dans un langage faussement journalistique mais subtilement orientée… vers le règlement de comptes.

Dans un style qui tient plus du procès d’intention que de l’investigation rigoureuse, M. Penda affirme, sans preuves bien sûr, qu’Ebomaf ne doit son succès qu’à de prétendus pots-de-vin versés à des officiels africains. Pire encore, il s’adresse sans détour au Président gabonais Clotaire Oligui Nguema, l’exhortant à écarter Mahamadou Bonkoungou des marchés publics. Un empressement suspect qui en dit long sur l’agenda réel de ce discours, probablement dicté par des concurrents fébriles, incapables de rivaliser à armes égales sur le terrain du travail bien fait.

Que reproche-t-on, concrètement, à Ebomaf ? D’être présente dans plusieurs pays africains ? De livrer des chantiers dans les délais ? D’avoir bâti une réputation solide grâce à une rigueur dans la conduite de projets publics ? La réussite dérange, c’est bien connu. Mais quand elle est locale, africaine, et assumée, elle devient insupportable pour certains lobbies qui préfèrent diffamer plutôt que performer.

Accuser sans fondement, jouer du soupçon comme d’un instrument de propagande, manipuler les perceptions pour décrédibiliser un acteur économique majeur… voilà le théâtre d’ombres auquel se livre un certain journalisme de commande. Le fait que cela vienne d’un personnage dont l’objectivité est sujette à caution ne fait qu’ajouter au ridicule de la manœuvre.

Ebomaf n’a pas besoin de blanchir sa réputation ; ses œuvres parlent pour elle. À ceux qui voudraient ternir son image, il faudrait rappeler que la diffamation n’a jamais pavé une route, ni construit un pont. Le continent a besoin de bâtisseurs, pas de polémistes aigris. Et Mahamadou Bonkoungou, qu’on le veuille ou non, fait partie des premiers.

Amen K.

admin

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *