Congo-Brazzaville : La fermeté de l’État face aux « Kulunas » et la clarté du discours du ministre de la Communication Thierry Lézin Moungalla.
Au Congo-Brazzaville, la question de la sécurité publique reste au cœur des priorités nationales. Face à la recrudescence du phénomène des « Kulunas », ces gangs de jeunes délinquants parfois appelés « bébés noirs », le gouvernement a décidé d’agir avec détermination. Le ministre de la Communication et des Médias, Thierry Lézin Moungalla, a une nouvelle fois réaffirmé, lors de la « Quinzaine du gouvernement », la volonté ferme de l’État de mettre fin à ce fléau social qui menace la tranquillité des citoyens et la cohésion nationale.
« Il faut éviter que les gangs deviennent plus forts que l’État », a déclaré le porte-parole du gouvernement, soulignant la nécessité d’une riposte énergique et coordonnée. Cette prise de position illustre la promptitude avec laquelle les autorités congolaises s’emploient à restaurer la sécurité dans les quartiers touchés par la violence des bandes organisées. Les opérations de traque engagées par les forces de l’ordre ne sont pas seulement une réponse sécuritaire, mais également un signal fort adressé à tous ceux qui défient l’autorité de l’État.
Au-delà de l’action sur le terrain, le gouvernement a su accompagner cette démarche par une communication claire, responsable et pédagogique. Sous la conduite du ministre Moungalla, la parole gouvernementale s’impose aujourd’hui comme un instrument de transparence et de cohésion. En expliquant les fondements et les objectifs des mesures engagées, le ministère de la Communication et des Médias contribue à renforcer la compréhension et l’adhésion des populations à la politique sécuritaire nationale.
Le ministre n’a pas manqué de fustiger certaines organisations non gouvernementales (ONG) promptes à accuser l’État de violations des droits de l’Homme, sans jamais dénoncer la cruauté des « bébés noirs » à l’égard des citoyens. « Aucun rapport des ONG ne soulignait que la barbarie des bébés noirs devenait intolérable », a-t-il rappelé, mettant en lumière une approche souvent déséquilibrée de ces acteurs internationaux face à la réalité du terrain congolais.
La réaction rapide et ferme du gouvernement démontre la volonté du Congo de préserver son autorité et de protéger ses populations contre toute forme d’insécurité. Grâce à la maîtrise communicationnelle du ministre Thierry Lézin Moungalla, l’État affirme son engagement à agir dans la transparence, la responsabilité et la légitimité. Une preuve que, face au désordre, la République reste debout et déterminée à défendre l’ordre et la paix.
Amen K.
